Hollande aime le présenter comme son
fils mais on peut émettre quelques doutes sur le mode de procréation. Il aurait pu l'appeler Brutus mais c'est un prénom qui, dans l'histoire, n'a
pas porté chance. Mac the Kid, en revanche, cela sonne plutôt bien. Et, "en même temps", ça fait djeun’s !
Nous ne
le suivrons pas comme nous l'avons fait avec son père et nous ne lui
consacrerons pas un nouveau blog. Cinq ans c'est bien long, alors dix ans...Surtout, qu'il a répondu à la question que nous nous posions sur le parti socialiste et sa
capacité à se réformer. Il a même fait mieux, il a lui-même allumé la mèche qui a
fait exploser la gauche et encore plus fort, ce sont tous les partis politiques qui
ont été atteints par l'effet de souffle. Reste maintenant la recomposition qui
est en marche mais c'est un autre sujet...
Nous nous contenterons donc dans cet épilogue d'accompagner jusqu'à
l'ultime étape, la succession de François 2.
La France, en effet, a un nouveau souverain mais il faudra s'assurer que ce n'est pas un roi
fainéant. Parce que, s'il avait une majorité aléatoire et s'il était contraint de
négocier avec les appareils partisans qui le haïssent, alors il ressemblerait à
son père. Et il n’aurait servi à rien de tout faire péter !
Nous l'accompagnerons donc jusqu'à fin juin, c'est-à-dire après les
législatives et le vote de la motion de confiance de l'assemblée nationale pour nous assurer qu'il aura bien les moyens de reconstruire ce qu’il
aura détruit.
Ce que nous lui souhaitons sincèrement, pour la France.
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