Tout le monde
n’aura, sans doute, pas été d’accord avec ce que nous venons d’écrire sur
Depardieu. Accessoirement,
le fait que cet "évènement" ait occupé les médias et les conversations de tous les
français depuis plusieurs jours en dit long sur l’état de notre pays… Quand on
pense que l’un des principaux reproches adressés par la gauche à Sarkozy était
d’être « anxiogène »...
Quelle
zénitude depuis son départ !Si l’on revient sur le sujet, c’est pour une nouvelle citation, mais qui fait chaud au cœur, celle-là. Elle n’aura pas de prix, justement parce qu’elle n’en n’a pas.
Il s’agit de Jamel Debouzze, chez Elise Lucet au JT de 13 H sur France 2, le 17 décembre. Interrogé, évidemment, sur " l’affaire Depardieu " il répond :
« C’est Obélix ! Il ne faut pas énerver Obélix…il est libre. »
Et quand on lui demande s’il aurait fait pareil, il répond :
« Moi, je ne peux pas quitter la France ! On a tellement galéré pour arriver en France. On va y rester. On sera les derniers. On éteindra la lumière. »
Merci Jamel,
tu es impayable…
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